Les jours passent et je suis toujours là.
Cet fois c’est ma dernière année. Nouveau déménagement au boulot, je retourne au Lycée. Les conditions ne sont pas au top, la fin est proche et c’est tant mieux.
Ces dernière semaines je suis à nouveau tombé sous le charme d’une stagiaire, charmante, pétillante, des yeux dans lesquelles je me noyais. Une femme de ménage qui passait par là m’a pris à partie pour me faire remarquer que : « Cette stagiaire en pinçais pour moi, c’était évident pour elle. ». Moi aussi j’en pinçais pour elle, ça aussi c’était évident. Je pense que Vanessa aussi l’avait remarqué. Mais comme à mon habitude, j’ai à nouveau laissé passer ma change. J’aurais pourtant tellement aimer lui avouer les sentiments que j’avais pour elle. Nous ne nous sommes que croisé, sa formation à durée un peu plus d’un mois. Son projet devenir formatrice.
En y regardant bien je ne suis pas tombé si souvent que cela sous le charme de ces femmes. En plus de trente années j’ai dû succomber à un peu plus d’une quinzaine de celle-ci. Mais je n’ai jamais eu le courage de leur avouer. Je suis un lâche j’en suis conscient. Vanessa sera vraisemblablement la dernière.
A bien y réfléchir, je pense que je n’en retiendrais que deux, Sandrine et Vanessa. Ce sont les seuls à qui j’ai fait comprendre que j’avais de réel sentiments pour elle. Toutes les deux sont libre, ou était libre. Sandrine venait de divorcer. Pour Vanessa, je ne sais pas, je sais juste qu’elle partageais ses enfants (une fille, un garçon) avec sont ex. Sandrine elle avait trois filles, dont des jumelles.
Enfin passons, dans peu de temps ce sera de l’histoire ancienne, avec une tonne de regret, d’autant plus que Véro m’encouragerais presque à franchir le pas, mais je vais y revenir.
Pour Frédérique, rien de neuf, nous gardons le contact. Je l’ai laissé prendre l’initiative pour le nouvel an, et après quelques jours, c’est bien elle qui à repris ce contact. Je pense de mon côté lui faire très prochaine un mail, sans raison, sinon celle d’avoir envie de prendre des nouvelles d’elle.
Et pour finir : que devenons-nous donc à la maison ?
- et bien, rien de neuf, nous n’avons pas réellement refait l’amour depuis plusieurs mois. A un moment, c’était il y a plus d’un an et demi, elle m’avouait qu’elle prenais du plaisir à me faire l’amour, mais très épisodiquement, c’est à dire que dans l’éventualité ou je pouvais patienter un bon mois, alors elle y prendrais plus de plaisir. J’ai laissé passer quelques semaines, et retour à la case départ. Depuis elle m’a annoncé, un soir ou je lui disait en larme que je regrettais le fais qu’elle n’ai plus envie de moi, que c’était fini, elle ne souhaitais plus participer, elle n’avais plus envie, a-t-elle seulement eu envie de moi un jour, je me pose la question. elle me laisse donc faire, nous sommes même actuellement dans une période ou elle se retourne pour ne pas me voir lui faire l’amour. Je ne suis d’ailleurs pas persuader que le terme soit le bon. J’ai plus l’impression de me soulager, même si, me semble-t-il elle prend malgré tout du plaisir, ce qui n’est plus vraiment mon cas…
Je suis dans une situation, que je connais hélas trop bien. Cette situation où j’aimerais tellement m’endormir et ne plus me réveiller. Plus de souffrance, juste ne plus être…
Je me souvient de ce jour où je suis sortie en pleine nuit de la maison alors qu’il neigeait dehors, je ne portait qu’un simple slip. Je me suis étendue dans la neige avec l’espoir d’en finir rapidement. Mais rien à faire mon cœur était à l’époque trop résistant. Je suis rentrée après un petit quart d’heure, peut-être plus, je ne sais plus. Et ça c’était il y as déjà plus de 25 ans. A bien y réfléchir, c’est depuis la naissance de Baptiste qu’elle a commencé à ne plus prendre autant de plaisir. Mais c’était peut-être déjà le cas avant. Son éducation peut-être, ou alors c’est moi, je ne sais pas.
Toujours est-il qu’aujourd’hui encore, je souhaite cet fin que je ne réaliserait pas, puisque je ne serais plus là. C’est vraisemblablement très égoïste, mais si tu savais comme je souffre Véro…